Le premier roman d’un historien ?
Je ne suis pas un grand amateur de roman. Mais celui là m’a intrigué.
J’apprécie énormément les qualités d’historien de Jean-Christophe Notin… Alors son premier roman m’a tenté… Bon, ça m’a quand même pris 3 ans pour le lire… mais j’ai fini par le lire. Le lire, le dévorer en fait !
A la façon, d’un Dan Brown, et avec humour, Jean-Christophe Notin nous plonge dans l’un des mystères les plus importants de la Résistance: la capture de Jean Moulin par Klaus Barbie.
Son héros, Victor Bécaux, historien en mal de reconnaissance, va se lancer dans une enquête historique semée d’énigmes et d’embûches. Mais chut ! Suspense garanti de bout en bout. Je ne l’ai relâché que terminé, ce premier roman !
Pour les amateurs de romans… comme pour les amateurs d’histoire.
Quelques ouvrages d’histoire de JC Notin:
- La campagne d’Italie, les victoires oubliées de la France
- Le général Saint-Hillier
- Les vaincus seront les vainqueurs: les français en Allemagne (1945)
Pas sûr que la référence à Dan Brown aide à la popularité de ce livre : )
@Vincent: que reproches tu à Dan Brown ? Le rythme était dans le Da Vinci Code. Y a mieux mais y a nettement pire aussi… Le rythme et les énigmes liés au codage m’ont un peu fait pensé à ce best-seller d’exception ! Mais que best seller… 😉
Euh…je reproche plusieurs choses…
1/ c’est écrit avec les pieds…du moins la traduction. Mais j’ai de fortes présomptions pour penser que c’est la même chose en VO.
2/c’est une oeuvre de fiction soit mais il semble que l’auteur cherche à rendre crédible son histoire…ce qui est impossible vu les énormité qu’il écrit. (on est à des années lumières d’U.Eco etde son Pendule de Foucault auquel on a souvent comparé, pas à son avantage loin de là le Da Vinci Code…)
3/ C’est mal construit, balourd, maladroit…pas bcp de finesse en quelque sorte…
@Vincent: ttoi, t’es jaloux des auteurs de best sellers – t’exagère ! moi, j’ai été déçu… mais je n’ai pas trouvé ça nul. 😉
Heu, non pas vraiment, j’adore Flaubert et ses best sellers, je conchie Dan Brown, Marc Lévy et Ken Follet et leur « littérature » de bas étage : )