Un bon Clancy mais des histoires qui s’essouflent.

A son habitude, Tom Clancy nous emporte dans un enchevêtrement d’histoires qui va s’accélérer jusqu’à l’aboutissement de son récit.

Rainbow Six, en 1.000 pages, met en valeur les équipes de forces spéciales spécialisées dans lz résolution de prises d’otages. L’histoire, plausible, d’un complot visant, pas moins, à détruire l’humanité va nous permettre d’accompagner les commandos Rainbow de l’Europe à l’Amazonie en passant par l’Australie. Tom Clancy, comme à son accoutumée, est précis dans ses description. Seulement le roman patine un peu sur quelques invraisemblances. A noter que les personnes centraux sont, dans ce roman, les compères John Clark et Ding Chavez et que Jack Ryan est mystérieusement absent du récit alors que quelques décisions essentielles semblent dépendre de son niveau de responsabilité.

Donc pour résumer, un Clancy qui tourne bien mais dans lequel on sent s’essouffler la série.


Dans le même style mains en plus punchy, lire les ouvrages de Chris Ryan, Andy McNab ou de Duncan Falconer, tous trois anciens SAS ou SBS britanniques.

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