Le sommaire:

  • L’armée italienne sur le front de l’est. Interview de David Zambon. Par Yann Mahé. Suite à la parution de son ouvrage chez Lemme Edition.
  • Oscarsborg. La forteresse qui a vaincu le Blücher. Dépassée mais efficace, cette fortification insulaire dans le fjord d’Oslo protégeait l’accès à la capitale de la Norvège. Le site est visiblement bien conservé. Reportage de Loïc Becker sur des photos de Tom Combam. Ça rappelle les beaux photo-reportages de Brice Charton dans feu « Champs de bataille » !
  • Une rubrique « Recensions » bien étoffée sur quatre pages avec dix entrées !
  • Grenadiers contre Sherman ! Les contre-attaques des I. et II./SS-Panzer-Grenadier-Regiment 25. « Bonnes feuilles » tirées de l’ouvrage consacré par l’auteur à la Pz Division Hitletjugend en Normandie aux éditions Maranes (500 Pages, 800 photos). J’ai trop lu de ce genre d’articles peu contextualisés, très tactiques, hachés par la répétition de la référence aux noms des unités et des officiers et sous-officiers concernés. Bref du Stephan Cazenave. Ça a sans doute un intérêt pour les passionnés, pas pour moi. J’ai zappé rapidement.
  • Les K-Verbände de la Kriegsmarine. Entre « poussière navale », forces spéciales et commandos-suicides (1ère partie). Les essais allemands autour de petites unités peu coûteuses dont on attend un excellent rendement quand il ne reste plus que ça et les armes secrètes pour fatiguer et démotiver l’adversaire… Courageux pour les hommes, pathétique pour le commandement ! Du fond. Par Yann Mahé .
  • La bataille pour Villers-Bocage (12-14 juin 1944). Echec pour Montgomery. Franck Segrétain illustre sur cette bataille les limites doctrinales et d’organisation des unités britanniques face à l’expérience et à l’initiative des unités allemandes en défense et en contre-attaque. Bien carré.
  • Les secrets du Packfront. Les tactiques antichars soviétiques de la seconde guerre mondiale. Plus que de secrets, Sylvain Ferreira nous livre l’évolution de la doctrine et des matériels soviétiques de l’avant guerre à Barbarossa puis avec les particularités en combat urbain (Stalingrad) ou sur des positions défensives lourdes (Koursk).
  • Petite guerre entre « amis ». Opération « Achse »: détruire l’armée italienne ! Nicolas Anderbegani nous livre une belle synthèse du désengagement italien de l’automne 1943 et ses conséquences sur les relations entre l’armée italienne et les unités allemandes en Italie mais aussi en Corse et dans les Balkans.
  • L’infanterie de l’air. Le « faux départ » des paras français. Formés par les Soviétiques, jamais engagés. Ils renaitront avec la France Libre pour lancer la saga des paras français en Indochine et en Algérie ! Par Loïc Becker.

Ligne de Front n° 82. Numéro des mois de novembre & décembre 2019. Un magazine des éditions Caraktère.

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