La relation de la bataille signée par celui qui l’a gagnée.

En 1929, le maréchal Pétain est au faite de sa gloire: colonel au bord de la retraite en 1914, il finira la guerre au commandement de l’Armée Française échappant de peu au commandement général des armées alliées (voir à ce sujet l’excellent « Pétain, le soldat de Guy Pedroncini). On le retrouva également au commandement de l’armée française qui mit fin à la guerre du Rif au Maroc.

La bataille de Verdun fut sans conteste le point central de la guerre 14-18 sur le front de l’ouest. L’Allemagne voulut y saigner l’armée française. Elle y réussit mais avec des pertes quasi aussi importantes. Philippe Pétain vit sa carrière s’amplifier avec la bataille et il en fut le vainqueur logique.

Dans cet ouvrage édité en 1929, il signe une relation classique en trois temps:

  • préliminaires et engagement de la bataille
  • l’organisation de la défense
  • les derniers efforts de l’adversaire et la riposte français

Le texte est appuyé par 8 belles cartes et 18 photographies en N/B.

158 pages aux éditions Payot en 1929.


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