• Foch, chef de guerre d’Elizabeth Greenhalgh. J’ai, dans ma bibliothèque, de nombreux ouvrages sur le maréchal Ferdinand Foch. Professeur réputé à l’Ecole de Guerre, c’est bien la 1ère guerre mondiale qui allait propulser sa carrière au sommet de l’armée française et à la tête des armées alliés pour la victoire de 1918. L’ouvrage d’Elizabeth Greenhalgh n’ait pas une biographie de plus du commandant suprême des forces alliées mais plutôt une analyse fine et récente de la montée de ses compétences militaires à l’aune de la mal nommée « Der des Der » ! Aux éditions Tallandier en 2013. 682 pages avec notes, bibliographie et sources, index des noms et 10 cartes dans le texte.

  • Un espion français à l’est (1962-2004) de Jean-Jacques Cécile. Cet auteur est bien connu des lecteurs réguliers de revues consacrées à la « res militaris » comme Raids, Ligne de front, Batailles & blindés ou feue Assaut (une pensée pour Yves Debay à cette occasion). Il nous propose ici l’histoire de Pierre Bach, agent du renseignement militaire français déployé dans les pays de l’est au temps de la Guerre Froide. Pratiques d’un autre temps… quoique… 😉 Aux éditions du Rocher en janvier 2014. 278 pages.

 


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